Je tiens absolument à te raconter un truc que j’ai vu hier.
photo deeeeeeeeeeeeee... ?
de Alexey Persikov, + déclinaison (Merci Anna)
Au premier plan, il y a un petit cul de profil déjà bien rouge, le buste en chemisier blanc aplati sur une lourde table en bois et les jambes d’équerre, debout, gainées de bas noirs 70 deniers. Juste derrière on devine un homme. On devine parce qu’on ne voit pas non plus son visage. On voit son pantalon, et ses mains, surtout, posées sur sa ceinture noire à boucle argent. Et puis il y a sa voix de basse qui dit :
- Il me semble vous avoir entendu dire qu’un homme enlevant son ceinturon, vous faisait de l’effet.
(Moi,... j’ai jamais dit ça, j’ai juste dis que les manches qu’on roule…, mais je connais au moins deux copines perverses que je peux dénoncer... enfin si je l'ai peut être dit, ou même ecrit, je m'en souviens maintenant mais c'était y à longtemps ....)
Bon donc, à ces mots, j’ai les yeux qui s’écarquillent ! Le petit cul lui se trémousse, tout ému, surtout que la main de l’homme déjà déboucle, tire et plie en deux la ceinture (ayayaille !). Le petit cul gargouille de modestes protestations. L’homme sans aucune compassion pour les gargouillis gronde un truc du genre :
- Je vous conseille de vous tenir tranquille et d’arrêter vos jérémiades !
Il lève le bras et abat, sur le pauvre petit cul framboise, la ceinture. Une fois ! Deux fois ! Trois fois ! Et le petit cul commence à vriller sur le coté pour essayer de protéger le haut de sa cuisse droite que l’on voit déjà marquée de deux belles traces que je fixe en respirant lourdement (j’aurais jamais cru être aussi voyeuse, quel kif !)
L’homme vient se placer derrière le petit cul meurtri qu’il saisi aux hanches pour le replacer bien dans l’axe.
- Ne bougez plus ou je vous attache !
- Oh non s’il vous plait (et blablabla, vous connaissez la sérénade)
Il s’éloigne d’un pas et le petit cul gourmand se tend. La fouettée reprend : une, deux, trois, et de nouveau le petit cul (qui ne sait vraiment pas ce qu’il veut) commence à frétiller de plus en plus vite sous le piétinement rapide des petons chaussés de slippers souples. Velouté vermillon, le petit cul se tord et gémit. Je suis fascinée ! C’est super érotique, t’imagines même pas ! Encore ! Encore !
L’homme s’approche du petit cul et couic, ça coupe ! On ne voit plus rien, il vient de redresser le petit cul mortifié et le miroir n’est qu’en partie basse du mur. Au dessus n'y a qu’un tas de vieilles cassettes et de fourbignole sur de fines étagères. Puis, ils partent tous deux vraisemblablement vers la chambre (mais je ne peux pas te raconter la suite n'y a pas de miroir, non plus, dans la chambre…)